jeudi 7 avril 2011

Le poche : l'espoir de la BD indé ?



7 commentaires:

Anonyme a dit…

Hmm, le poche premier éditeur pour la SF et le polar, c'est de moins en moins vrai.

De plus en plus, les éditeurs publient en grand ou semi-grand format pour la première édition et reprennent ensuite en poche. Un inédit en poche longtemps traditionnel, J'ai lu, a cessé il y a dix ans de publier de l'inédit (je le sais, j'ai cessé de travailler pour eux à ce moment-là, par voie de conséquence), pour reprendre récemment... en créant la collection Nouveaux Millénaire, qui est du semi-poche.

Y a des éditeurs d'inédits poche (Milady chez Bragelonne, pour de nombreux titres), mais ils sont adossés à une structure qui fait du grand format et je ne suis pas convaincu qu'il y en ait autant qu'il y en a eu aux belles heures des littératures de genre.

Jean-Paul Jennequin a dit…

Au temps pour moi. Merci de la mise au point, ça m'apprendra à me tenir informé.

Donc, ce sont souvent les mêmes éditeurs qui font les deux versions d'un bouquin, le grand format et le poche ? Et est-ce que le grand format est rentable seul ou est la combinaison grand format + poche qui rend le livre rentable ?

Anonyme a dit…

Je pense que c'est une combinaison: le grand format est d'un meilleur rapport immédiat, mais le poche permet d'atteindre les lecteurs moins fortunés, en reprenant une édition aux frais considérablement amortis.

gb a dit…

ça fait plaisir de revoir du improbablement-like. Des numéros papiers encore dans les tiroirs ?

Jean-Paul Jennequin a dit…

On va dire que oui, et pas qu'un peu. Le problème, ce sera de les sortir des tiroirs.

GROSPATAPOUF a dit…

Il faudra les sortir en poche !

Jean-Paul Jennequin a dit…

Vu le format, on n'en sera pas loin. Mais si je réduis un tant soit peu, on ne pourra plus lire les textes.